Born in 1964 in Nevers, France.
Annick Bouvattier captures seemingly
insignificant gestures in the everyday lives of beautiful women, trivial
moments, fleeting glances, words unspoken, speechless stories. She is a
painter of silences, silences that many a beholder and collector has
heard and savoured.
In 1982, she trains as a stylist for
two years at Berçot – Marie Rucki Fashion School. Her works were
subsequently shown in Paris and the Villa Médicis in Rome, and acclaimed
by fashion designers and the trade press.
She was more drawn to stage fashion than prêt-à -porter, however, and chose to work for filmmakers and advertising. She has since designed a number of costumes for Cinecittà Studios in Rome. From her Italian experience derives her use of deep, warm and sensual colours: sun-drenched ochres, velvet reds, intense blues and deep greens.
In 1990 she gave herself wholly up to painting. After two years of self-training, she studied with Pierre Ramel (a former pupil of Mac Avoy’s), who taught her the painting-knife technique: she smooths out her oils to achieve an effect of transparency.
She was more drawn to stage fashion than prêt-à -porter, however, and chose to work for filmmakers and advertising. She has since designed a number of costumes for Cinecittà Studios in Rome. From her Italian experience derives her use of deep, warm and sensual colours: sun-drenched ochres, velvet reds, intense blues and deep greens.
In 1990 she gave herself wholly up to painting. After two years of self-training, she studied with Pierre Ramel (a former pupil of Mac Avoy’s), who taught her the painting-knife technique: she smooths out her oils to achieve an effect of transparency.
Annick Bouvattier est née à Nevers au milieu des années soixante.
Son père, pédiatre et amateur d'art, lui transmet dès sa prime enfance le goût de la peinture.
En 1982, baccalauréat scientifique en poche, elle délaisse la tradition familiale des études de médecine pour s’inscrire à l'école de mode "Berçot - Marie Rucki" où, pendant deux ans, elle reçoit une formation de styliste. Ses créations, présentées à Paris et à la Villa Médicis (Rome), connaissent un succès d'estime auprès des professionnels et font l'objet de nombreuses parutions dans la presse spécialisée.
Cependant, plus attirée par la mode spectacle que par celle des boutiques, elle s'oriente très vite vers le cinéma et la publicité. Costumière styliste, elle travaille souvent dans les studios de Cinecittà à Rome. De ses séjours italiens, elle gardera le goût des couleurs chaudes, sensuelles, profondes : ocres ensoleillés, rouges sourds, bleus intenses, verts profonds.
Son père, pédiatre et amateur d'art, lui transmet dès sa prime enfance le goût de la peinture.
En 1982, baccalauréat scientifique en poche, elle délaisse la tradition familiale des études de médecine pour s’inscrire à l'école de mode "Berçot - Marie Rucki" où, pendant deux ans, elle reçoit une formation de styliste. Ses créations, présentées à Paris et à la Villa Médicis (Rome), connaissent un succès d'estime auprès des professionnels et font l'objet de nombreuses parutions dans la presse spécialisée.
Cependant, plus attirée par la mode spectacle que par celle des boutiques, elle s'oriente très vite vers le cinéma et la publicité. Costumière styliste, elle travaille souvent dans les studios de Cinecittà à Rome. De ses séjours italiens, elle gardera le goût des couleurs chaudes, sensuelles, profondes : ocres ensoleillés, rouges sourds, bleus intenses, verts profonds.
Début 1990, elle décide de se consacrer exclusivement à la peinture.
Après deux années de recherche autodidacte, elle devient de 1992 à 1996 l'élève de Pierre Ramel, disciple et massier de Mac'Avoy, qui lui enseignera la technique de l'huile au couteau qu'elle travaille lissée, sans épaisseur de matière, tout en transparence.
Après deux années de recherche autodidacte, elle devient de 1992 à 1996 l'élève de Pierre Ramel, disciple et massier de Mac'Avoy, qui lui enseignera la technique de l'huile au couteau qu'elle travaille lissée, sans épaisseur de matière, tout en transparence.
Aujourd'hui, Annick Bouvattier peint
des femmes, seules ou entre elles, dans des appartements de ville
presque vides, meublés d'ombres et de lumière. Belles, jeunes, sans
fausse pudeur, indifférentes aux éventuels regards extérieurs, elles ne
sont pas en représentation. Elles ne cherchent pas à séduire, ou alors
comme par inadvertance.
Petits gestes anodins du quotidien, moments sans importance, regards insaisissables, non-dits, histoires sans parole, Annick Bouvattier est le peintre des silences.
Petits gestes anodins du quotidien, moments sans importance, regards insaisissables, non-dits, histoires sans parole, Annick Bouvattier est le peintre des silences.